• UBS

    orangebox wrote:

    Quote
    hat zwar nix mit der UBS zu tun aber auch sehr interessant :lol:

    Der Versuch aus ne halben Kisten 22 zu machen :?


    Geht es wirklich nur noch um Maximal Profit koste es was es wolle?


    http://www.spiegel.de/wirtschaft/0,1518,545813,00.html


    Es geht doch sowieso immer um Profit. Und für einige zählt der mehr als alles andere.


    Ich frage mich, ob hier wirklich jemand etwas gegen den Betrug unternehmen wollte, oder ob er sich einfach in ein besseres Licht stellen will, indem er die anderen verrät?

    Der Hauptwert des Geldes besteht in der Tatsache, daß man in einer Welt lebt, in der es überbewertet wird.

  • UBS

    L'ère des chasses gardées des régulateurs est révolue



    Analyse.




    Yves Genier

    Mardi 8 avril 2008



    Les milliards de dollars perdus dans la crise du crédit ne coûtent pas extrêmement cher qu'aux grandes banques d'affaires comme UBS (UBSN.VX) et à leurs actionnaires. Les régulateurs, ces gendarmes postés aux portes des banques et censés intervenir dans la maison dès qu'un problème s'y manifeste, sont sérieusement affectés eux aussi.


    Ils ont été pris de vitesse par la rapidité et la profondeur de la diffusion d'une crise financière qu'ils avaient pourtant pressentie. Qu'ils se nomment Financial Services Authority (FSA) au Royaume-Uni, Federal Reserve aux Etats-Unis ou Commission fédérale des banques (CFB) aujourd'hui, tous ont dû courir après les banquiers dès l'été 2007 pour comprendre ce qui était en train de se passer. D'où l'impression qu'ils donnent aujourd'hui d'être «behind the curve», en retard d'une guerre avec leurs nouvelles exigences d'élévation des fonds propres des grandes banques d'affaires. Le sens commun dirait: c'est avant la crise qu'il aurait fallu agir, pas après.


    L'auraient-elles pu? Tout indique le contraire. D'abord, ce n'est que tardivement qu'elles ont identifié le risque des titres de dette structurée. Alors que la vente d'asset-backed securities (ABS) et de collateralized debt obligations (CDO) décolle dès le début des années 2000, ce n'est qu'en 2006 que le Comité de Bâle pour le contrôle bancaire s'inquiète sérieusement. Son enquête, effectuée durant l'hiver suivant, est publiée au printemps 2007, juste au moment où les premiers signes d'éclatement de la bulle sont apparus.


    A leur décharge, les régulateurs peuvent plaider une certaine ignorance. Pendant longtemps, le marché de la dette structurée est resté cantonné dans d'étroits milieux. Les grandes banques d'affaires le canalisaient auprès de leurs propres clients via des fonds hors bilan, les mêmes qui ont dû être rapatriés en catastrophe dans leurs comptes lorsqu'a éclaté la crise. Ce n'est que sur le tard que la nature de ces produits a été comprise hors des cercles intéressés.


    Par ailleurs, leur complexité leur conférait une apparence de robustesse. Lorsque le hedge fund Amaranth s'est effondré en septembre 2006, le secteur bancaire a à peine frémi. Cette impression de stabilité n'a rien fait pour raviver la volonté interventionniste des régulateurs.


    Ces arguments en cachent cependant un autre, moins avouable: la dépendance extrême de ces derniers des institutions qu'ils surveillent. Daniel Zuberbühler, directeur de la CFB, avouait crûment il y a juste une semaine lors de la conférence de presse annuelle de son organisme: «Toutes les autorités de surveillance sont grandement tributaires des systèmes de données et de mesure des risques mis en place par les banques elles-mêmes. Elles peuvent certes passer à la loupe les fondements des systèmes de mesure des risques et les processus de contrôle des risques [...] mais elles ne pourront jamais, même si leurs ressources étaient démultipliées, vérifier elles-mêmes toutes les données sur site.» En clair, si la CFB n'a pas anticipé la crise de UBS, c'est parce que UBS ne l'a pas vue venir elle-même.


    Dans ces circonstances, certains seraient à bon droit de s'interroger sur l'utilité de conserver des régulateurs. La FSA n'a pas anticipé la crise de Northern Rock. Le Bafin (Bundesanstalt für Finanzdienstleistungsaufsicht, le régulateur financier allemand) a été pris de court par les problèmes aigus de la banque régionale IKB.


    La Fed a dû débourser elle-même 34 milliards de dollars pour garantir les contreparties les plus risquées que le cinquième broker de Wall Street, Bear Stearns, ne pouvait plus assurer et prévenir un effondrement général du système.


    Cela d'autant plus que les banques avancent leur propre catalogue de solutions. Leur organisme de réflexion, l'International Institute of Finance (IIF), préconise une amélioration de la gestion du risque au moyen de l'application d'un code de bonne conduite et d'un lissage des rémunérations des hauts responsables bancaires. Mais ces idées sont-elles toutes applicables telles quelles? UBS n'a pas pu éviter d'amortir près de 40milliards de francs malgré 3400 contrôleurs internes et un système de détection perfectionné. Par conséquent, un gendarme externe s'impose.


    Toutefois, ce régulateur ne peut plus miser que sur deux armes: l'élévation des exigences de fonds propres et l'amélioration de la transparence. Pour résumer, une prime d'assurance plus élevée et une cage de verre. Avec le risque, déjà exprimé par les banques, de créer les conditions de la prochaine crise financière. Soumises à des contraintes accrues, les banques seront tentées de prendre des risques plus élevés pour maintenir leur rentabilité. Cependant, elles ne sont plus en état d'opposer une forte résistance à ces mesures. Elles finiront donc bien par les adopter d'ici à quelques années, comme elles ont appliqué les accords de Bâle après le krach de 1987 et ceux de Bâle II après la crise du fonds LTCM.


    Mais cet arsenal de mesures n'exonère pas les régulateurs d'admettre leurs propres limites. Ceux qui fonctionnent en mode intégré, c'est-à-dire qui surveillent tous les secteurs de l'industrie financière, de la banque à l'assurance, devront garantir une indépendance totale vis-à-vis des banques. Or, Eugen Haltiner, le président de la future Finma (autorité de surveillance des marchés financiers suisse, qui succédera à la CFB et à l'Office fédéral des assurances privées dès le 1er janvier 2009) perd encore beaucoup d'énergie pour affirmer son complet détachement de son ancien employeur UBS. Les régulateurs qui fonctionnent par ligne d'activité, comme le prévoit par exemple le projet de réforme du secrétaire américain au Trésor, Henry Paulson, devront à tout prix éviter de donner le sentiment qu'elles cherchent à protéger leurs chasses gardées.


    Enfin, il paraît inconcevable de ne pas systématiser l'échange intensif d'informations sur les grandes banques entre régulateurs. L'époque des chasses gardées nationales paraît définitivement close.

  • UBS

    Bitte entschudige Buli-Buli, aber ich habe es nicht so mit dem Französisch, darum kann ich darauf auch nicht antworten.


    Was mich interessieren würde, was Ihr zur aktuellen Lage sagt.

    Macht die Rally eine Pause oder ist das "Feuerwerk" vorbei?



    Ich hoffe ich darf meinem Chart glauben.. danach sollte es rein theoretisch - und eben nur theoretisch - morgen oder spätestens übermorgen wieder nach oben gehen...


    Wo seht ihr das Potential bis zur GV?

  • UBS

    STO und MACD deuten im Tageschart auf 3 Monate auf eine Trendumkehr, die sich aber erst noch ganz entwickeln muss.


    Habe heute 2/3 meiner UBSN verkauft... Warte auf einen tieferen Einstiegspreis.


    Es ziehen wieder News-Gewitterwolken auf...

  • Re: UBS - in 1 Jahr ?

    yenstorm wrote:

    Quote
    UBS in einem Jahr, sicher > 40.-

    Gruss Yenstorm


    sicher ist nur der Tod ;-)... nein, weiss schon was du damit sagen möchtest... Es kommt wohl darauf an, wie weit sich die Investmentkrise noch ausbreiten wird... sind alle Leichen ausgegraben??? Wohl kaum (meine Meinung) und deshalb ist UBSN für mich ein Zockertitel...

  • Re: UBS - in 1 Jahr ?

    yenstorm wrote:

    Quote
    UBS in einem Jahr, sicher > 40.-

    Gruss Yenstorm


    ...oder 15.- nicht ganz sicher, aber wahrscheinlich!


    die haben sich untereinander viel zu getraut vielleicht etwas zuviel.. wer schuldet wem was?


    die explosion ist noch lange nicht ausgestanden!

    Führungsqualitäten besitzt, wer es versteht, Prinzipien an bestehenden Umstände anzupassen.

  • UBS

    langsam kann man an die finanztitel denken und sie langfristig ins portfolio nehmen. bei der ubs kann man gut bei der kapitalerhöhung einsteigen. die neuen aktien werden ganz sicher mit einem grossem abschlag angeboten (die kapitalerhöhung ist ja durch ein bankenkonsortium gesichert und darum wird's die neuen aktien wohl zu einem ausgabepreis von 20 bis 25 franken geben. einfach am letzten tag ein paar rechte holen und die ubs dann mit einem ep von vielleicht 27 bis 29 langfristig ablegen....

  • UBS

    Zürich (AWP International) - Die UBS AG nimmt in Eigenregie 300 Mio CHF auf.

    Die Konditionen der öffentlichen Anleihe wurden wie folgt festgelegt:

    Betrag 300 Mio CHF (mit Aufstockungsmöglichkeit)

    Zinssatz 4,00%

    Emissionspreis 100,284%

    Zeichnung bis 18.04.2008

    Liberierung 22.04.2008

    Verfall 23.04.2012

    Kotierung

    an SWX: wird beantragt; provisorischer Handel ab 21.04.2008

    Valor: 3'950'904 (4)

    Rating AA-/Aa1 (S&P/Moody's)


    Das gibt dem heutigen Kurs 2% neuen Schub (aber immernoch im Minus :( ).

    Was haltet Ihr von der Aktion?

  • UBS

    @ mckinley


    Bei 4% Zins kann ich in Deutschland zu wesentlich besseren Konditionen Festgeld anlegen...!!! Und dies Steuerfrei, und vermutlich mit weniger Risiko !!!


    Warum soll ich also diesem maroden Unternehmen noch Geld nachwerfen.


    Also Finger weg. Sollen die doch selber schauen wo sie die Kohlen herbekommen.


    Ich weiss das ist nicht sachlich, sondern emotional. Aber nach dem Debakel würde ich keinen einzigen Rappen in die UBS investieren.


    Gruss

    Dr.Zock

    Es ist leichter, einer Begierde ganz zu entsagen, als in ihr maßzuhalten. ( Friedrich Nietzsche )

  • UBS

    sunny wrote:

    Quote
    langsam kann man an die finanztitel denken und sie langfristig ins portfolio nehmen. bei der ubs kann man gut bei der kapitalerhöhung einsteigen. die neuen aktien werden ganz sicher mit einem grossem abschlag angeboten (die kapitalerhöhung ist ja durch ein bankenkonsortium gesichert und darum wird's die neuen aktien wohl zu einem ausgabepreis von 20 bis 25 franken geben. einfach am letzten tag ein paar rechte holen und die ubs dann mit einem ep von vielleicht 27 bis 29 langfristig ablegen....


    klar doch, voll rein ins ungewisse.... alles hat sich in luft aufgelöst!

    :roll:

    Führungsqualitäten besitzt, wer es versteht, Prinzipien an bestehenden Umstände anzupassen.

  • UBS

    sunny, du verbreitest immer wieder Gerüchte aus einem Gesellen-Leben in der Bank. Forget it. Was du sagst, habe ich seit Monaten gelesen, wahrgenommen, und geprüft. Durch's Band hat es sich als falsch erwiesen. Du kannst mir gerne das Gegenteil zeigen. Zeige mir ein Gerücht, das sich bewahrheitet hat. Dutzende von Gerüchten hast du hier aufgetischt, und am Schluss war alles Hokus-Pokus, wie ich es übrigens in deinem Fall von Anfang an vermutete. Cheerio. Dabei noch angefügt, dass wenn ich auf eine einigermassen korrekte Rechtschreibung stosse, doch eher denke, der andere hätte wenigstens jene gelernt, und könne nun weiteres Denken anstellen.

  • UBS

    learner wrote:

    Quote
    sunny, du verbreitest immer wieder Gerüchte aus einem Gesellen-Leben in der Bank. Forget it. Was du sagst, habe ich seit Monaten gelesen, wahrgenommen, und geprüft. Durch's Band hat es sich als falsch erwiesen. Du kannst mir gerne das Gegenteil zeigen. Zeige mir ein Gerücht, das sich bewahrheitet hat. Dutzende von Gerüchten hast du hier aufgetischt, und am Schluss war alles Hokus-Pokus, wie ich es übrigens in deinem Fall von Anfang an vermutete. Cheerio. Dabei noch angefügt, dass wenn ich auf eine einigermassen korrekte Rechtschreibung stosse, doch eher denke, der andere hätte wenigstens jene gelernt, und könne nun weiteres Denken anstellen.


    Aber Gerüchte sind halt in erster Linie Gerüchte. Wenn er aus seiner Sicht Fakten posten würde, die sich aber im nachhinein als nicht richtig erweisen, dann ist es was anderes.

    Solange er es als Gerücht deklariert habe ich überhaupt nichts dagegen. Wenn man genug schnell war konnte man oft von diesen Gerüchten profitieren.

    Mit dem obigen Posting bin ich auch nicht ganz einverstanden. Aber wenn es seine Meinung ist warum nicht? Am Schluss sollte halt jeder selbst entscheiden was er mit seinem Geld macht.

  • UBS

    :evil: :twisted: :twisted: :evil: :x :twisted: verfl..cht und elende schei..e :evil: :evil: :x :twisted: :evil: :x habe gestern gepockert und *all in* gemacht....... :evil: :evil: :twisted: :x kruzifix und mist nochmal...notverkauf eingeleitet :evil: :twisted: :x :twisted: :evil:


    sorry an alle, musste mal persönlich dampf ablassen

  • UBS

    kalos3844 wrote:

    Quote
    :evil: :twisted: :twisted: :evil: :x :twisted: verfl..cht und elende schei..e :evil: :evil: :x :twisted: :evil: :x habe gestern gepockert und *all in* gemacht....... :evil: :evil: :twisted: :x kruzifix und mist nochmal...notverkauf eingeleitet :evil: :twisted: :x :twisted: :evil:

    sorry an alle, musste mal persönlich dampf ablassen




    ruig blut........

    wird sicher lich nicht so schlimm sein nach einer zweiten Lagebeurteilung.

    bei mir ists auch nicht rosig.... habe mich vor ein paar Monaten auch grausam verspekuliert und bin nun häppchenweisse dieses gewaltige Minus am aufarbeiten....

    Je planmäßiger die Menschen vorgehen,

    desto wirksamer vermag sie der Zufall treffen !

  • UBS

    Mwe wrote:


    Momentan ist es schlicht und einfach zu riskant zum Finanztitel insbesondere UBS zu kaufen vor allem kurzristig. Es kommen ja noch die Ami-Banken mit ihren Zahlen, dass wird auch etwas werden. Meine UBS-Puts freuts.

    Schaue eifach nicht zu *wink*

  • UBS

    kalos3844 wrote:

    Quote
    :evil: :twisted: :twisted: :evil: :x :twisted: verfl..cht und elende schei..e :evil: :evil: :x :twisted: :evil: :x habe gestern gepockert und *all in* gemacht....... :evil: :evil: :twisted: :x kruzifix und mist nochmal...notverkauf eingeleitet :evil: :twisted: :x :twisted: :evil:

    sorry an alle, musste mal persönlich dampf ablassen


    Ich war auch all in bei UBS. Letzte Woche am Montag noch bei 7k im Minus, ein Tag später wieder im Plus(jedoch viel zu früh verkauft). Eines habe ich den letzten 4 Wochen gelernt(solange bin ja ich aber erst dabei :lol: ), einfach Ruhe bewahren und Tee trinken auch wenn es schwer fällt.

  • UBS

    PaulNo111 wrote:

    Quote

    Ich war auch all in bei UBS. Letzte Woche am Montag noch bei 7k im Minus, ein Tag später wieder im Plus(jedoch viel zu früh verkauft). Eines habe ich den letzten 4 Wochen gelernt(solange bin ja ich aber erst dabei :lol: ), einfach Ruhe bewahren und Tee trinken auch wenn es schwer fällt.


    Thread Money- und Risikomanagement im User2User-Forum suchen und lesen. Du hast überhaupt nichts gelernt. Noch schlimmer du hattest Anfängerglück, wie es komischerweise die meisten haben am Anfang. Wenn Du so weiter fährst wird es Dich hart treffen.


    Gruess

    „Alles was die Sozialisten vom Geld verstehen, ist die Tatsache, dass sie es von anderen haben wollen.“


    Konrad Adenauer